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Plus le temps passe, plus il y a urgence à réaliser ses rêves!

jeudi 17 décembre 2015

ça va ça vient!

Et oui, il est monté jusqu'en 5 eme position du classement des meilleures ventes de livres érotiques, mais il y a tellement de sorties de livre en décembre qu'il est en train de redescendre. Pour le soutenir, il n'y a qu'un seul moyen: LISEZ-LE! Le lien est juste à côté!

dimanche 13 décembre 2015

la seconde de gloire!

Et oui, les amis, ce sera peut-être bref, mais je viens de rentrer dans le top100 du classement des meilleures ventes d'Amazon, à la 55eme position au général (je parle avec un vocabulaire de rallye!) et en 8eme position des romans érotiques numériques!
Et si vous ne voulez pas que ce soit bref, et bien lisez-moi, parlez-en et commentez!
Merci les lecteurs



jeudi 10 décembre 2015

Plus sur Lili

Le blog "Littérature & français", m'a offert une interview. Alors si vous voulez en savoir plus sur Lili l'auteure faites un petit tour là:

http://www.litteratureetfrancais.com/2015/12/liliane-fournier-auteur-de-pas-froid-aux-yeux.html

dimanche 6 décembre 2015

Pour lutter contre les émissions de gaz à effet de serre!

Quand il  fait froid, on peux tenter de se réchauffer de l'extérieur, avec une cheminée, une bouillotte, un radiateur... mais le plus efficace, c'est de le faire de l'intérieur!
Comment ?
Lire ça:
Pas froid aux yeux
5 histoires courtes, plutôt émoustillantes, mais aussi poétiques, romantiques, insolentes...


dimanche 8 novembre 2015

Je chante soir et matin!

Ben oui, ça m'arrive de chanter! J'ai commis cette vidéo. La qualité du son est limite mais c'est juste pour le fun!

https://www.youtube.com/watch?v=i64Bo5m8VjM

lundi 12 octobre 2015

Ils m'éditent!

Ne pas se décourager, continuer d'espérer....je peux citer une longue liste d'expressions similaires pour expliquer le parcours du combattant de l'auteur de roman débutant.
Mais vous savez quoi? C'EST VRAI!
Après une courte vie dans le monde de l'auto édition, ANDALOU (ex corrida) va être publié aux éditions Hélène Jacob, et j'en suis ravie!
Je ne renie pas le système de l'auto-édition, mais je suis de celles qui ont besoin de reconnaissance, qui n'y croient que lorsque d'autres y croient aussi, je ne me referais pas, je n'y peux rien, je suis faite ainsi.
Par la même occasion, le livre sortira en format papier et sur toute les plateformes de téléchargement, il sera corrigé, il aura probablement une nouvelle couverture.
Et moi, je vais découvrir cet univers inconnu. J'ai hâte!

samedi 26 septembre 2015

Corrida, le titre qui fait peur!

Et voilà, je me retrouve encore devant cette décision et ça suffit!
"Corrida", le titre qui fait peur!
Il est aujourd'hui politiquement correct d'être contre la corrida, ce jeu barbare venu du fond des âges, même si on ne sait rien à son propos.
Je ne me ferais pas l'avocat de cet "art", mais quand même, je me fais l'avocat de la curiosité.
Quand j'ai écrit ce roman, qui a pour toile de fond la tauromachie, j'avais en tête des idées bien marquées contre ces barbares. Et comme tout "bon" écrivain qui se respecte, j'ai fait des recherches, j'ai vu, j'ai lu et mes convictions ont été ébranlées. Les codes de ce monde sortaient de la nuit des temps, c'est vrai, mais ils étaient moins barbares que je ne le pensais, beaucoup moins barbares.
Surtout, je me suis posé la question de la condition animale.
Et si j'avais le choix idiot entre vivre la vie d'un taureau dont les dernières minutes sont terribles, et celle d'une poule dont la courte vie ressemble à celle d'un déporté d'Auschwitz, ou de celle d'un cochon d'élevage qui est celle d'un grand criminel condamné à perpétuité, ou encore celle d'un chien, vous savez le bon toutou à qui on accorde une caresse et une gamelle par jour et qui passe le reste de son temps à tirer sur sa chaîne, ou bien encore celle d'un cheval de promenade, sellé le 30 juin pour n'être dé-sellé que le 30 août, juste nourrit, juste ferré, qui passe son été avec des cavaliers qui lui donnent des coups dans la bouche ou dans les flancs parce qu'ils ne savent pas monter, et je pourrais en citer d'autres.
Et bien vous savez quoi, je choisirais la vie d'un taureau dont les dernières minutes son tourmentées, mais dont la vie est belle, au campo, libre, dont l'ennemi quotidien est son frère de pâture, parce que tôt ou tard, il faudra se mesurer à lui, à coup de cornes et qu'il pourrait avoir sa peau avant d'atteindre les arènes. C'est cela la réalité d'un taureau de combat. Le combat dans l'arène dure 15 minutes, pas une de plus, c'est le règlement et non pas des heures comme je l'ai trop souvent lu sur certains sites anti corrida.
J'avoue qu'ils m'ont déçus, les "anti", parce que j'ai longtemps fait parti de leur rang, mais j'ai lu une quantité déraisonnable de conneries sur leurs publications, et cela les a définitivement discrédités à mes yeux, au point que j'ai presque basculé du côté obscur de la force. J'ai dit presque!
Tout cela pour en venir à la chose suivante: "Corrida" est un titre qui fait peur, même s'il n'est pas question de ça dans mon roman, même si la corrida a lieu ailleurs, entre la cavalière qui ne veut pas entendre parler de la mort "spectaculaire" d'un animal et le torero qui ne parle plus guerre de taureau parce qu'il est sous son charme. Cette corrida, elle a lieu dans la ville de Béziers, bien avant qu'elle ne soit connue pour les opinions politiques de son maire, et dans cette ville, les anciennes maîtresses du torero sont tuées, selon un rituel tauromachique. Ce sont de ces corridas-là dont il est question.
Mais au lieu d'être curieux, et parce qu'il existe une quantité phénoménale de romans, les lecteurs préfèrent passer leur chemin.
Peut-être aurais-je du céder à la mode dès le départ et appeler mon roman: 50 nuances de torero, ou bien "beautyful torero" (ce titre était tout à fait plausible).
Alors, j'en ai un peu assez de devoir lutter pour un titre que j'aime mais qui est un répulsif à lecteur.
Je risque fort de passer à autre chose.
Andalou, est ce qui colle le mieux à mon histoire, d'autant que la suite s’appellera Andalouse.
Donc, pour le moment, je garde Corrida jusqu'à Noël, mais ensuite, il se pourrait que ça change!

mardi 8 septembre 2015

Ne pas vendre la peau de l'ours avant de l'avoir tué!!

Ah, les amis, les temps sont chauds! Et ce n'est pas le climat!
Il se passe plein de choses pour moi en ce moment, mais en bonne sudiste imprégnée de superstitions, je n'en parlerai que quand ce sera signé!
Mais le simple fait d'écrire ces lignes me soulage.
Je vous en dis plus quand j'en sais plus!

mardi 28 juillet 2015

Se mesurer!

Ecrire c'est bien, lire aussi. Je viens de terminer "osez 20 histoires de sexe en voyage", oui, je sais , il était temps, mais les vacances sont très denses cette année!
Pour ceux qui n'auraient pas suivit. Une de mes nouvelles a été sélectionnée pour figurer dans ce recueil. Le seul problème, c'est que:
1 - je n'avais jamais lu un de ces recueils avant, donc je n'en connaissais pas  le contenu, ni le style, rien!
2 - (Oui je sais ça fait deux problèmes), j'ai pris connaissance des textes qui m'y accompagnaient en même temps que tout le monde.

Ce n'est pas bien grave, mais je flippais. La Musardine éditant des textes érotiques mais aussi pornographiques, je ne savais pas trop quelle serait l'ambiance à l'intérieur du livre. J'avais un peu peur de côtoyer des écrits à la faible teneur poétique et au fort pourcentage de vulgarité.
Que néni!
Je suis satisfaite. Il y en a pour tout les goûts, du léger, du lourd, du gras, du sentimental, du drôle...
Je me suis trouvée très proche de certaines auteures d'un point de vue style, j'ai adoré certaines histoires, j'en ai clairement détesté d'autres. Un petit tiercé perso:
Ma préférée pour le style:"Entre deux vols" de Viviane Faure ex-equo avec "Road trip" de Julie Derussy., "Dark vacances" de MMK pour l'insolite de l'histoire. Prix spécial de l'humour pour "à vicieux, vicieux et demi" de Angel Aigû qui même avec un style assez "gras", m'a beaucoup amusée.
J'étais heureuse d'avoir eu ma place avec eux et je m'y suis trouvée à ma place!

dimanche 12 juillet 2015

Retour à l'origine.

Sortir un livre, même numérique, est une aventure passionnante mais semée d'embûche. Le métier d'éditeur ne s'invente pas et je pense que les professionnels vont aimer les auteurs qui seront passés par cette épreuve, ils seront plus compréhensifs des contraintes liées à cet exercice (ceci est un clin d’œil appuyé vers les éditeurs!!!)
Parce qu'un manuscrit, une fois qu'il est écrit, il faut le corriger, et ce n'est pas facile de se corriger, c'est long, c'est fastidieux. Ensuite, il y a la mise en place à faire pour que le texte soit lisible sur toutes les tablettes.
Et enfin, il faut donner envie de le télécharger: Il faut rédiger une 4eme de couverture excitante, et trouver une couverture attirante. Pas facile quand on est noyé dans un océan de couvertures toutes aussi belles les unes que les autres.
J'ai fais de nombreux essais cette année. Et tout compte fait je reviens à la première. Je l'avais abandonnée parce que les roses rouges sont abondantes sur les couvertures disponibles sur Amazon, mais elles ont un sens et sont liées à mon histoires. Ensuite, l'originalité n'est pas forcément vendeuse, il n'y a qu'à voir le nombre de couvertures obéissant à la même charte graphique, ou les noms proches les uns des autres.
Alors la revoilà, ma rose. En plus, je l'aime bien, c'est du "home made", la rose vient de mon jardin, les rênes sont celle du bridon de mon cheval, le poignard appartenait à mon père...Bonne lecture!

vendredi 26 juin 2015

Le kiffe

Quand on écrit, on ne se pose pas la question, de toute façon, on n'a pas le choix, c'est comme ça, c'est une nécessité.
On y pense le jour où on commence à envoyer des manuscrit aux maisons d'édition. Et si ça marchait?
On se retient, on se restreint, n'empêche que ça trotte dans le fond de ses rêves.
Alors le jour où on retrouve son nom accolé au titre d'une nouvelle qu'on a écrit avec ses petits doigts boudinés, dans un vrai livre publié par quelqu'un d'autre que soi, autant dire que c'est le kiffe assuré.
Ce qui ne veut pas dire que ce qu'on publie soi-même n'a pas de valeur, non, mais ça prouve juste , pendant un temps minuscule, que quelqu'un d'autre y croit!
Et même si le titre du livre ne laisse aucun doute quant à son contenu : Osez 20 histoires de sexe en voyage, rien ne m'empêchera de kiffer!

Ben oui, j'écris des histoires érotiques, et j'aime ça! (j'avais écris "histoires cochonnes" dans un premier temps, mais je lutte contre l'idée que le sexe puisse être sale, et cochon, ça veut dire la même chose alors je préfère érotiques, piquantes, excitantes....)


mercredi 24 juin 2015

Osez 20 histoires de sexe en voyage!

Quoi, mais où avais-je la tête?
Je n'ai rien dit au sujet de ma nouvelle éditée?
Cet été, pour ne plus penser au gros monsieur qui bronze à côté de vous en matant vos seins à la dérobée, pour oublier les averses qui ruinent vos balades au grand air, ou stimuler votre libido en berne après une année épuisante et pas affriolante du tout, lisez "Osez 20 histoires de sexe en voyage".
Une de mes nouvelles y a été sélectionnée!
Elle s'appelle "Le concert", et vous ne verrez plus les aires de repos au bord des routes de la même manière après l'avoir lue!

Au boulot!

Cela fait un an que "Corrida, mortelles extases" flotte au gré des courants et l'heure de faire le point a sonnée!
Je reste dans mes métaphores marines (après la bouteille à la mer...): j'ai l'impression d'avoir passé un an sur un frêle esquif dans une traversée de la manche, sans cartes ni GPS.
J'ai ramé, avec des petites cuillères en guise de rames, au milieu d'une mer remplie de paquebots, cargos et autres super tankers totalement indifférents à ma destinée (et aussi d'innombrables coquilles de noix).
J'y ai rencontré d'autres rameuses, et ramer à plusieurs, c'est réconfortant. Et si cette traversée ne sert qu'à ça, j'en serais ravie.
En ce moment, les flots autour de moi sont pris de remous. 
Le premier : ma nouvelle choisie par la Musardine, m'a fait passer des petites cuillères à des cuillères à soupe, ce n'est pas encore l'outil idéal pour avancer, mais ça réconforte.
Le deuxième : la relecture de "Corrida" par le comité de lecture des "nouveaux auteurs", et ce, à leur demande.
Depuis, les frémissements se sont multipliés.
Sont-ce des gros poissons ou bien juste le vortex de mes rames, je n'en sais encore rien. 
Mais j'ai retrouvé l'énergie nécessaire et aussi une carte plus précise de l'endroit où je me trouve.
Bon stop, la métaphore c'est bien, mais les plus courtes...
J'ai tenté les maisons d'éditions avec les belles devantures et la plaque cuivrée bien brillante, mais de toute évidence, je ne suis pas assez "bien" pour entrer dans le bâtiment. "Bien", c'est à dire connue. Regardez de près et vous découvrirez, comme moi que les grands éditeurs ne sont pas de grands aventuriers, ils ne prennent pas beaucoup de risques, ils assurent leur revenus, et en ces temps de crise, je veux bien les comprendre. Si, si, j'ai eu un commerce moi aussi!
Je fais juste un aparté: ce qui ne veut pas dire que ces éditeurs "ne comprennent pas mon talent....tous pourris...faut coucher...écrivain maudit " et toute une cargaison de poncifs du même style. Je sais que je ne suis pas la nouvelle Amélie Nothomb, rassurez-vous. Mais la vérité m'est apparue lorsque je me suis rendue compte que certains "grands" éditeurs n'acceptaient plus de nouveaux manuscrits. Ça, au moins, c'est clair!

Mais depuis, j'ai découvert un autre monde de l'édition, des éditeurs plus modestes, dont le nom chauffe moins les oreilles, qui ne me permettrons certes pas d'allumer la lueur de l'adulation dans les regards de mes amis, mais dont l'esprit est autrement plus stimulant, avec une autre vision de l'édition moins axée sur la rentabilité, plus débrouillarde, plus humaine, plus fraîche...plus écolo! (Et si je sélectionnais les éditeurs qui ne demandent pas de manuscrits papier de 2,5Kg?)
Alors je reprends tout à zéro, et je me relance.
Les vacances arrivent et j'ai du pain sur la planche. J'en souhaiterais presque un été pluvieux pour ne pas être distraite par le clapot tiède des vagues de la grande bleue. Mais ce sont les vacances tout de même, et bien méritée en plus. 
Donc, si vous pouviez m'accorder des journées de 26 à 27 heures, je vous en remercie d'avance!

dimanche 31 mai 2015

Rebondissement innatendu!

Hé oui, en cherchant d'un côté, je trouve de l'autre!
En délirant, puisque c'est du délire que viennent les bonnes idées, un ami a changé les couleurs de la future couverture de "histoires à ne pas dormir du tout"et ça a donné une image très sexy.
En cherchant bien, on s'est dit qu'on avait une nouvelle version de la couverture de Corrida. Puisque sa version numérique est un laboratoire de recherche en couverture de roman-au-nom-qui-fait-peur, dès que j'ai un peu de temps, je le modifie sur amazon!
L'argumentaire est simple: le noir pour le côté polar, le rose pour le côté sentimental, le corps qui, souligné par "mortelles extases", exprime soit l'extase, soit la mort!


dimanche 24 mai 2015

Définitif!

Comme prévu, ce ne sont pas ces titres qui seront conservés. Et oui, ce n'est pas facile de trouver un titre qui convienne à tout le monde et surtout qui véhicule tout ce que l'on veux y mettre.
En ce qui me concerne, j'ai besoin que le titre exprime la sensualité, mais aussi l'humour de mes nouvelles.
Je récapitule:
Divagations, ça fait SPA
Changement de climax: ce n'est pas compris par tout le monde
La fille qui rêvait: c'est un peu nunuche
Voir le loup: ça existe déjà
La sainte verge est dans la grotte: trop "San Antonio"
Elsa, Alex, Ambre et les autres...: trop Claude Sautet
Après plusieurs insomnies, des notes prises à 5 heures du matin, un brain storming avec les copines, tadam!
Ce sera: Histoires à ne pas dormir du tout!

dimanche 17 mai 2015

Chauds les titres

Vivent les long weekend, car ils permettent à ceux qui ont une double vie de pouvoir en faire un peu plus!
Ça a mouliné dur sous ma boite crânienne, et comme d'habitude, mes choix ont changé. Je vous rassure, c'est toujours comme cela, et rien ne dit que ceux-là sont les options définitives! Ceci dit, on se rapproche!
Le trio de titre qui ira en finale est:
La fille qui rêvait
Changements de climax
Divagations sensuelles

Le premier est très conventionnel, un peu mollasson, mais très consensuel, tout le monde le comprend. Ce n'est pas mon préféré!

Le deuxième m'a beaucoup fait rire (il m'arrive de m'auto faire rigoler, vous devriez essayer, ça fait du bien!) Ça correspond à ma personnalité, mes centres d’intérêts, à certaines des répliques que l'on retrouve dans le recueil. Il y a de l'humour (les nouvelles n'en sont pas dépourvues). Reste que le mot climax n'est pas forcément bien compris de tous. Les anglophones capteront immédiatement qu'il fait référence à l'orgasme, les autres moins, les écologues risquent même de se poser des questions! Mais j'aime bien. Ce n'est pas le plus "commercial" cependant. S ou pas S à changement, je ne sais pas!

Le troisième est entre les deux. Moins tarte que le premier, moins drôle que le deuxième. On va le faire en positif: plus évocateur que le deuxième, plus percutant que le premier. J'aime bien l'idée de "divaguer", perdre la tête, et aussi s'échapper. Je pourrais même me contenter de "divagations", mais le mot écrit, n'est pas joli, d'où le "sensuelles" qui pourrait bien être "érotiques". Ça correspond à mon état d'esprit lorsque je l'ai écrit.
Les jeux sont faits, rien ne va plus. J'attends quelques retours avant de me décider!

dimanche 10 mai 2015

Les nouvelles sont fraiches!

Je ne compte m'arrêter en si bon chemin. Mon recueil de nouvelles sera bientôt prêt.
Le nettoyage avant lecture est fini, la mise en forme est finie et je travaille à "l'emballage"!
Ben oui, il y a 15 nouvelles, mais il me faut un titre.
Pour le moment, mon cœur balance entre "Chaudes mathématiques et autres nouvelles", ou bien, "Carnet de rêve, 15 nouvelles érotiques".
Et pour accommoder tout ça, il me faut une couverture, qui est l'élément marketing incontournable. Pourquoi clique-t-on sur un livre, parce qu'en premier, c'est la couverture, puis le titre, puis la quatrième de couverture qui nous guide. Rater la première étape, c'est mettre en péril toutes les autres.
Cela avait été un vrai tourment pour la couverture de Corrida: Pas facile de contre-balancer un titre épouvantail comme celui-là!
Je me creuse la tête pour l'image, j'ai quelques pistes à vérifier, quelques photos à tester, et d'ici une ou deux semaines, je serai, j'espère, en mesure de vous présenter la nouvelle couverture!
Vous pouvez donner votre avis sur le choix du titre!

mardi 7 avril 2015

A force, à force...une de mes nouvelles devrait être publiée dans un recueil de nouvelles érotiques
 " 20 histoires de sexe en voyage", aux éditions La Musardine.
Cela s'appelle "le concert".  Les informations suivront quand il paraîtra chez votre libraire préféré.

mercredi 4 mars 2015

Help wanted!

Si vous êtes anglais ou américain et si vous voulez m'aider à traduire Corrida, vous êtes les bienvenus. L'espagnol ne serait pas mal non plus!
Laissez un commentaire, je vous recontacte.

mardi 3 mars 2015

Fashion corrida!

Evidemment, depuis que j'écris sur ce thème, je suis plus attentive à ce qui se passe chez les toreros et les taureaux et j'ai découvert que le prochaine campagne de pub de Dolce & Gabbana était sur le thème de la corrida et la vedette en est Manzanares, mon torero favori!