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Plus le temps passe, plus il y a urgence à réaliser ses rêves!

vendredi 18 novembre 2016

Pas froid aux yeux, saison 2

Voilà de quoi réchauffer les longues soirées d'hiver!

Le deuxième volume de mon recueil de nouvelle est disponible.
6 nouvelles histoires plus ou moins courtes avant d'envisager les fêtes.
La bonne blague, nouvelle en camping
Le chou à la crème, nouvelle équestre
Pur automne, nouvelle à l'odeur de sous bois
Le caprice, nouvelle cadeau d'anniversaire
Tuala, nouvelle exotique et enfin, de saison,
La mère Noël avait les boules, nouvelle au pied du sapin.
Pour le commander, rien de plus simple, cliquez sur la couverture, à gauche

mardi 11 octobre 2016

Le deuxième est en route!

Dans ma tête, c'est comme un circuit de formule 1, les idées tournent, vite, se doublent, tombent en panne, repartent et en fait, il m'arrive de ne pas savoir qui va gagner!
Mais de quoi parle-t-elle?
Des idées de romans!
Je reprends, sur la ligne de départ, nous avions Andalouse (la suite d'Andalou), pas froid aux yeux 2 (la suite de pas froid aux yeux) et voilà qu'un outsider surgit au dernier moment: Scottish trip, qui n'est que la suite de mon voyage en Ecosse.
Les concurrents se sont élancés et il semblerait que le petit dernier ait gratté tout le monde!!
Mais en fait, non, c'est PFAY2 (je fais comme à la télé, je garde que les initiale de mes titres) devrait franchir la ligne d'arrivée d'ici peu, le problème est de savoir quand. J'ai d'abord espéré avant les vacances, puis la fin des vacances, puis fin octobre, et tout compte fait ça va finir par sortir en décembre comme le premier! Enfin, on verra! Il doit encore repasser en correction avant de mettre le nez dans le grand monde.
Pour le moment, je pense avoir la couverture!

dimanche 7 août 2016

Le bilan

Cela fait à peine un an que j'ai reçu un super e-mail, un de ceux qu'on lit, relit, re relit à s'en bousiller les yeux, tant on a du mal à y croire. Ce courrier, c'était celui d'EHJ, ma maison d'édition qui m'annonçait que j'allais être publiée.
Qu'est-ce que ça a changé?
Tout et rien.
Ma vie est la même, je n'ai pas quitté mon boulot en rêvant de plateaux TV, je ne me suis pas acheté une maison, tout est pareil qu'avant. Mais alors quoi?
Ce qui a changé, en revanche, c'est la légitimité, l'espoir et la confiance.
Savoir que quelqu'un dont c'est le métier, a suffisamment aimé votre roman pour prendre le risque de l'éditer, c'est à dire investir sur vous, c'est vraiment un coup de pouce à la confiance, souvent défaillante chez moi.
J'ai découvert une autre partie de ce "métier": les corrections, le travail d'équipe, la communication...
Et aussi, le détachement: je ne suis plus celle qui gère ou qui surveille l'évolution des ventes.
Ça m'a manqué, mais tout le reste est plutôt confortable.
Ce qui a évolué dans ma vie: La reconnaissance! Je ne laisse plus les autres me dire que je perds mon temps, j'ai obtenu le droit de laisser griller le repas de midi, d'oublier d'étendre le linge, de ne pas regarder le programme du soir à la TV, de passer une partie des vacances devant mon écran.
Et ça pas de prix!
Je ne ressens plus cette culpabilité, cette sensation désagréable de gâcher ma vie à poursuivre des chimères, de délaisser mon entourage pour des futilités.
L'écriture a trouvé sa place officielle dans mon emploi du temps sans ajouter la moindre pression. J'aime écrire, cela n'a pas changé, mais je le fais plus sereinement.


Mon bouquin ne sera pas un best-seller!
Cette constatation pourrait me blesser et pourtant, ça a plutôt été l'occasion de découvrir que mon éditrice était, malgré tout, derrière moi, qu'elle s'y attendait un peu (premier roman) et qu'elle m'a choisie en connaissance de cause.
Et là, je fais un "big up" aux EHJ, parce qu'on entend partout que les éditeurs ne jouent pas le jeu, ne prennent pas de risques, se laissent porter par le succès d'une poignée d'auteurs, sans proposer de nouveauté...
Et bien aux Editions Hélène Jacob, l'équipe prend des risques, parie sur de nouveaux auteurs, sur des histoires originales. Ils ont la patience qui manque à tant d'autres, celle d'attendre qu'un auteur se fasse connaitre. 
Vous n'imaginez pas à quel point cette confiance est déterminante, pour nous auteurs et surtout pour vous les lecteurs. 
Sans ce courage et cet engagement, vous seriez condamnés à lire les mêmes livres, encore et encore!


mercredi 18 mai 2016

Tabou ?

Cela fait un mois et demi que Andalou est sorti! Je découvre la vie d'auteur édité.
C'est confortable parce que je ne me soucie pas de la mise en ligne, ni des plateformes, nombreuses, où on peut le trouver. C'est une prise de tête en moins.
C'est déstabilisant parce que je ne sais pas comment cela se passe au niveau des ventes, mon bébé est hors de mon contrôle et ça me manque un peu. Aux dernières nouvelles, ce ne sera pas un best seller, enfin, pas tout de suite!
Les chroniques sont plutôt bonnes jusqu'à présent, je vais peut-être les répertorier sur la page du blog consacrée à ce titre.
Mais alors où est-ce que ça coince?
Devinez?


Le monde de la corrida ne fait pas recette.
 Oser en parler vraiment, c'est prendre le risque de se voir cataloguer de monstre! Tout le monde campe sur ses positions et refuse d'écouter l'autre. C'est affligeant, c'est ce qu'on appelle un sujet tabou. Ouvrir son esprit à ce sujet, c'est risquer de glisser vers l'infâme. On voit chaque jour dans les médias, des séries qui sondent le plus obscur de l'âme humaine, les esprits criminels qui torturent, violent, tuent; On veut savoir ce qui les poussent à faire autant d'horreurs. Mais dès qu'on prononce le mot corrida, il n'y a plus aucune explication à donner, plus de tentative de compréhension, rideaux.
J'ai osé choisir un héros qui est torero, mais quel esprit barbare, quelle honte, quelle abomination! J'aurais mieux fait de choisir un sérial killer et de conter avec délectation, la manière dont il dépèce ses victimes! Cela n'aurait choqué personne!
La crispation sur ce sujet m'amène parfois à défendre quelque chose que je réprouve, c'est du moins l'impression que cela peut donner.
Quel étrange paradoxe!
Les pages Facebook sont inondée de propagande "anti" que je ne relève pas (et c'est dur), non pas que j'ai envie de la défendre, vous me connaissez, mais parce que j'en ai assez de lire des bêtises à ce sujet. Je veux bien qu'on soit contre, comme je le suis, mais pas à grand renfort de mensonges, d'où le terme choisi de "propagande".
Oui, j'ai vu moi-aussi, ce film d'étudiants mexicains immobiles dans une arène alors qu'on y lâche un taureau!
Et c'est là que ça commence: un taureau?  Ça?
Non, messieurs et mesdames les anti, ce qui circule dans cette arène est un veau de deux ans maximum, n'ayant encore développé aucun des instincts qui le poussent à combattre.

Ensuite, oui, l'immobilité calme les ardeurs du plus féroce des prédateurs (dont le taureau ne fait pas partie, je sais, c'est un herbivore!!), c'est de l'éthologie. Lâchez un lion, un tigre, un ours ou bien restez immobile au milieu d'un banc de requin, ce sera toujours le même résultat, vous ne serez pas perçu comme un être vivant, donc pas comme une proie, ou un intrus sur un territoire, ni une menace. Et vous ne serez pas attaqué. Cela reviendrait-il à dire que le lion, le tigre ou le requin sont parfaitement inoffensifs?
Ici, l'effet est accentué par la multitude. D'ailleurs on voit bien la vachette donner des coups de corne au hasard. S'il y avait eu une seule personne, l'animal aurait foncé dessus, sans savoir ce que c'est, sans volonté de tuer, je vous l'accorde.

Et enfin, il est dit sur le bandeau qui défile, que les taureaux sont "maltraités" avant d'entrer dans l'arène. Je pense que beaucoup de veaux, bœufs, agneaux, cochons, et poulets aimeraient être "maltraités" comme les taureaux de combats. Un taureau qui arrive aux arènes abîmé de quelque manière que ce soit est refusé. Un vétérinaire est là pour vérifier que le condamné est en parfaite santé et apte à se défendre. Oui, comme un condamné à la chaise électrique, on ne veut pas assassiner des malades, ce ne serait pas cool! (Enfin, pour le condamné à mort humain, être en état de se défendre ne lui servira à rien).
Donc, si on prend en compte la perte sèche financière de l'organisateur, ce n'est vraiment pas souhaitable de présenter un animal "maltraité". La seule maltraitance qu'il subit, outre le transport (et c'est un sujet à méditer dans le milieu du concours hippique, ou du cirque par exemple), c'est d'avoir été enfermé dans un endroit sombre (le toril) pour, au contraire, réduire une fureur légitime (n'oublions pas que jusque là, il était libre dans l'immensité de son champ et qu'on lui fichait une paix royale) qui l'amènerait à se briser les cornes en les plantant dans les parois de son enclos.
Alors oui, quand il entre dans l'arène, il est désorienté, il ne sait pas ce qu'il fait là, ni pourquoi il y est. Là-dessus, je suis d'accord. D'ailleurs, je ne sais pas si vous avez observé cette curieuse habitude qu'ont les toreros, de se munir d'un leurre qu'ils agitent sans cesse! Oui, vous voyez où je veux en venir, le capote du torero, lui, n'est pas immobile et c'est lui (et non pas la couleur) qui attire le taureau, qui le fait monter en agressivité et qui l'amène à frôler le torero de plus en plus. Celui qui va lui intimer l'ordre d'attaquer, c'est le picador....mais je ne veux pas ici décrire un acte barbare qui dégoûte tout le monde, moi y compris.
Ce que je sais, c'est que je ne descendrais sous aucun prétexte dans une arène face à un taureau adulte passablement énervé de ne plus être dans son champ. Je peux dire cela, parce que je suis allé les voir de près, histoire de ne pas, moi, raconter n'importe quoi quand je parle de corrida. J'ai été dans les élevages, pour voir de plus près l'origine du mal.
Alors je reconnais ne pas avoir fermé mon esprit et avoir cherché à comprendre (je n'ai pas dit" à aimer") ce qu'était la corrida, au delà de tout ce que je lisais ici ou là, dans un camp ou dans l'autre. Je me suis demandé pourquoi un rituel aussi sanguinaire et aussi absurde pouvait encore exister aujourd'hui.
Je refuse que la mort d'un animal soit un spectacle.
Mon âme a été tourmentée par ce sujet, au point que j'ai eu le désir d'en faire un roman.
Une histoire qui donnait à l’héroïne la fragilité qui est la mienne, l'indécision que l'on me reproche pourquoi? Parce que j'ai vu pire que la corrida, et dans le politiquement très correct.
Parce que derrière la corrida, il y a un amour inconsidéré des taureaux, oui, j'ai bien écrit "un amour", je sais, c'est absurde, je ne comprends pas plus que vous, mais c'est ainsi.
J'ai vu des espaces soustrais aux exigences économiques de l'agriculture intensive. L'Andalousie sans les taureaux, c'est 100% des terres cultivées et pas vraiment en bio si vous voyez ce que je veux dire,!
Vous voyez, je ne cite pas les dizaines d'emplois qui y sont liés, parce que dans le trafic d'animaux vivants ou à fourrure, il y a aussi des centaines d'emplois dont j'avoue ne rien avoir à faire. Non, je dis juste que l'élevage du taureau est garante de biodiversité et d'espace naturels protégés, que ça nous plaise ou non!
Et puis surtout, concentrer l'attention des défenseurs de la cause animale sur la corrida, permet de faire des horreurs dans les abattoirs, dans les élevages d'animaux de compagnie, dans la conduite de certaines meutes de chasse, dans les cirques, dans les centres équestres, tous ces endroits où on gagne sa vie grâce à eux...
Quelques fois en voulant bien faire on fait pire. Avez-vous déjà mis les pieds dans une SPA? Aïe, je vais trop loin? Tous les animaux que j'ai eu ces dernières années en viennent et je ne l'ai jamais regretté. Mais comment pensez-vous qu'il vive, le pauvre toutou, tout moche à force de se frotter au grillage, trop vieux pour qu'on prenne le risque de ses mauvaises habitudes? Croyez-vous qu'il soit heureux, celui qui saute inlassablement dans un coin de sa cage, avec le regard éteint du chien qui ne sera jamais adopté, parce qu'il est devenu fou, à force d'être enfermé?
Je sais combien ces associations sont valeureuses, combien elles sauvent des animaux maltraités pour de vrai, cette fois, mais pour en faire quoi? Etre enfermé pour le restant de ses jours, sorti une fois par semaine par des bénévoles? Je n'ai pas de solution, mais je ne peux m'empêcher de me poser la question.
La maltraitance animale est partout, même là où ne veut pas la voir: le toutou qui attend toute la journée seul, dans sa belle maison, que son maître rentre pour avoir un semblant de vie sociale, ou celui que l'on tire dans la rue parce qu'on n'a pas le temps d'attendre qu'il fasse pipi en respirant les pipis des autres, ou encore cet autre, toujours au bras de sa mémère qui l'aime tant, à qui il ne manque que la parole mais qui, s'il pouvait parler, demanderait juste de courir et se rouler dans la boue sans son foutu manteau - cheval dont on paye une pension exorbitante pour qu'il reste 23h /24 dans un box (l'heure qui manque, il est monté en manège), immobile, lui qui est physiologiquement fait pour marcher toute la journée, manger toute la journée, avec ses congénères pour lui gratter le dos de temps en temps et qui finit par danser d'un pied sur l'autre ou par mordre la porte du box pour se distraire -  cheval de course, enrêné pour contraindre son galop, quand sa génétique de trotteur n'est pas suffisante (tiens au fait, pas de mouvement anti PMU?) - dauphin de marineland qui réjouit tant les enfants, enfermé dans un bassin exiguë, torturé par les ondes de son écholocalisation, lui qui est fait pour nager dans l'espace infini de l'océan - poisson rouge tournant en rond dans un bocal mais dont on assure qu'il ne s'en souvient pas - oiseau en cage - Je pourrais noircir des pages et des pages, surtout pour préciser que leur peine est quotidienne et à vie!
Les bourreaux, c'est vous, c'est nous, c'est ici ou juste à côté de chez nous, c'est à la une des journaux dans les bras d'une star!
Mais vous avez raison, les vingt dernières minutes de la vie d'un taureau de combat sont effroyables!

vendredi 15 avril 2016

En vrai!

Tenir le livre que l'on a écrit est toujours un moment émouvant.
C'est la deuxième fois en 4 mois, j'y prend goût!
En tous cas, l'objet est joli!


lundi 28 mars 2016

Sortie attendue! ANDALOU de Liliane Fournier.

Ça y est, il est de nouveau accessible en version numérique et en version papier.
Envie de changer d'air?
Besoin d'un petit galop dans l'étang entre les taureaux et les oiseaux?
Et pourquoi pas croiser le séduisant Gaetano Guardia, ou l'inspecteur Bayard, et retrouver la fougueuse Mathilde!
Faites-vous plaisir!

http://www.editionshj-store.com/products/andalou-liliane-fournier

mercredi 16 mars 2016

Nouveauté de la semaine, en attendant "ANDALOU"

Je me lance dans l'inconnu cette semaine: après un séjour en exclusivité chez Amazon (où vous le trouverez toujours sous forme numérique ET papier (je rappelle à ceux qui n'en ont pas l'habitude que "broché" signifie édition papier)), PAS FROID AUX YEUX est maintenant disponible sur le site de la FNAC (voir lien ci-contre).
Donc, si vous ne supportez pas l'idée de dépenser votre fortune chez le grand satan amazon, vous avez maintenant le choix. Sur le site de la FNAC, mon livre est disponible en format e-pub, donc lisible sur toutes les tablettes pour les récalcitrants du format mobi.
Je ferais un petit topo sur les différentes plateformes quand je les aurai pratiquées. Pour le moment, KOBO (fnac) est facile à utiliser et la mise en ligne ne pose aucun problèmes, contrairement à la réputation qu'il avait.
Je suis par contre extrêmement perplexe sur la mise en avant du livre, je n'ai pas réussi à le trouver dans le catalogue!!!! Mais peut-être est-ce parce que je n'ai pas encore l'habitude de cette plateforme.
Je pense malgré tout que mon prochain coup de gueule pourrait avoir un lien avec la manière dont les français sont exclus des modèles de promotion des livres que ce soit sur kobo ou sur KDP!

mardi 26 janvier 2016

Les Cerises sont nées!

Elles existent depuis presque deux ans, mais uniquement entre nous, dans la chaleur de notre amitié.
Nous avons décidé qu'elles allaient être notre nom, notre marque, notre label, notre maison d'édition.
Pas comme une maison d'édition classique, non, plutôt comme: "chez nous", à la maison.
Pour les railleurs, je précise que ce n'est pas un nom fantoche inventé pour donner de la fausse crédibilité à nos auto-publications.
Les Cerises existent belles et bien en vrai.
Ce sont 4 filles complètement givrées, 4 artistes avec une identité distincte et des personnalités  très différentes, mais une fraîcheur, un humour et un style très proche. Si vous aimez lire l'une d'entre nous vous aimerez les autres.
Qui sont elles?
Certaines dessinent, d'autres chantent et toutes écrivent.
Laure Elisac, notre noyau, est celle qui a cristallisé ce mouvement autour de son roman: "oh, lord". Notre nom vient de son autre roman "la cerise sur le gâteau". La suite logique de ces deux premiers bijoux: "Over lord"se fait actuellement une beauté avant que vous puissiez le lire.
Mahira Delanney, est l'auteur de "quiproquo chez le gynéco" et "Noah". Un petit 3eme est en route "Un footballeur à la barre" et verra le jour pour la Saint Valentin.
Noha, notre chroniqueuse, anime un blog "les crazy stupid lecture de Noha", qui représente bien notre humour décalé. C'est note oeil de lynx, celle qui passe au crible nos écrits pour nous signaler les erreurs, les incohérences (pas les fautes d'orthographe parce que ce serait un boulot à plein temps!!!)
Et moi-même, Liliane Fournier, auteur de "Pas froid aux yeux" et prochainement "Andalou" (sortie le 28 mars 2016 aux éditions EHJ).
Nous fonctionnons comme une petite ruche: nous échangeons, stimulons, nous nous remontons le moral quand ça ne va pas et nous rions ensemble quand tout va bien. Pourtant nous vivons loin les unes des autres, mais nos connexions artistiques sont aussi numériques.
Plongez dans ce panier de Cerises douces et juteuses, et rougissez de plaisir!
Ah, oui, j'oubliais, nous avons tendance à laisser notre esprit grivois s'exprimer librement. Si vous pensez que le sexe est sale, honteux et dépravé, restez sur le plongeoir!